Université Saint-Louis - Bruxelles
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"Les tensions linguistiques en Belgique"
Après-midi de réflexion proposée aux rhétos


Publié le 26 novembre 2021



Quatre cent nonante et un. Soit le nombre de jours écoulés entre les élections du 26 mai 2019 et la formation d’un gouvernement de plein exercice. Derrière cela, on trouve bien entendu des divergences de vue entre les familles politiques, les projets de la droite et de la gauche, avec toutes leurs nuances, qui rendent la donne complexe. Mais au-delà de cela, existe un autre facteur plus clivant encore : les tensions linguistiques entre Nord et Sud du pays.

Comprendre la situation que nous connaissons impose d’en saisir l’origine ou, plus précisément, les origines. D’où provient cette césure en Belgique. La linguistique permet de nous éclairer sur le pourquoi de la présence chez nous de ces deux parlers. Il importe également d’envisager comment, au fil du temps, se sont organisés les rapports et la cohabitation entre locuteurs néerlandophones et francophones. Tout est question de rapport à l’autre, d’attention à l’autre.

Dans le cadre de l'après-midi de réflexion proposée aux élèves de rhéto organisée le 25 janvier prochain par la Faculté de philosophie, lettres et sciences humaines de l’Université Saint-Louis - Bruxelles, des spécialistes de différentes disciplines (linguistique, littérature, philosophie, histoire...) éclaireront les classes inscrites sur les nombreuses tensions linguistiques en Belgique.

Comme chaque année, cet événement sera l'occasion d'aborder une thématique spécifique sous différents angles, d'offrir l'opportunité aux élèves du secondaire de s'initier à la prise de notes, d'entrevoir les spécificités de l'enseignement supérieur ou encore de découvrir les programmes de la Faculté de philosophie, lettres et sciences humaines.

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