Université Saint-Louis - Bruxelles
|

Natacha Pfeiffer, chercheuse et assistante en philosophie


Publié le 28 mai 2015


Jean-François Champollion fut le premier à déchiffrer les hiéroglyphes. L’égyptologue ne se doutait sans doute pas que son œuvre serait à l’origine d’une profonde déception pour une petite fille dans les années 90. Natacha Pfeiffer. 

Elle qui avait déjà commencé ce travail d’interprétation dès son plus jeune âge fut en effet très déçue d'apprendre, à 8 ans, que cela avait déjà été fait. Notre jeune chercheuse, adepte de romans policiers, voulait percer le mystère des hiéroglyphes. Ces petits dessins. Ces images. En décoder le sens. Savoir les regarder et s'interroger. Voir les choses autrement.

De fil en aiguille, cette ambition s'est généralisée et c'est dans le cinéma que notre philosophe de l'image s'épanouit désormais le plus. « Natacha Pfeiffer, le portrait ! », scène 1, plan 1, tournez ! Clap !
 






Crédit photo : Natacha Pfeiffer