Alors que l’évolution de la recherche permet pour la première fois dans l’histoire d’envisager la fin de l’épidémie du VIH/Sida, les nouveaux traitements et dispositifs de prévention sont encore mal connus dans l’opinion publique, et notamment dans les milieux afro-belges.
Les personnes d’ascendance africaine constituent l’un des groupes les plus vulnérables face au VIH/Sida en raison du nombre élevé de contamination au VIH/Sida mais également du cumul des inégalités auquel elles font face et qui les exposent d’autant plus au risque de contracter le virus ou d’un suivi inadéquat.

Cette conférence se tiendra le samedi 9 février. L’objectif est de faire le point sur l’avancée de la médecine afin de poser les bases d’un dialogue constructif entre les acteurs de promotion de la santé, les leaders religieux et les chercheurs et chercheuses, en vue de collaborations durables.

Elle se divisera en deux panels :

- « L’épidémie du VIH et les enjeux afro-belges ».

- « Quelle contribution pour les Églises dans les parcours de prévention et de santé ? »