A l’heure où le nombre d’objets connectés dépasse le nombre de personnes reliées à internet, où les applications mobiles deviennent des outils générant de nouvelles pratiques, Nils Walravens, chercheur au centre de recherche iMinds-SMITS de la VUB, se penche sur « les facteurs favorables ou défavorables qui constituent une première identification des domaines sur lesquels les villes en général, et Bruxelles en particulier, devraient concentrer leurs efforts en vue de devenir « plus intelligentes », en prenant comme point de départ la technologie mobile ».

Il constate que Bruxelles progresse lentement en matière d’applications mobiles, ce qui est probablement dû à sa complexité institutionnelle et à l’absence d’une structure chargée de coordonner la stratégie en la matière. Il se penche également sur les problèmes organisationnels que peut engendrer l’émergence de ces applications mobiles, notamment concernant la gestion et le suivi des interactions avec les utilisateurs, la collaboration avec les entreprises qui développent les applications ou la gestion des retombées économiques éventuelles.