Dans le cadre de son programme Europe 2020, l’Union européenne s’est fixé comme objectif d’encourager ses Etats membres à affecter à la recherche et développement (R&D) 3% de leur produit intérieur brut (PIB). La Belgique a décidé au sein de son programme national de réforme de suivre cet objectif.

Le dernier numéro du Brussels Studies présente une analyse qui tente de mettre en évidence cet effort au niveau des entités fédérées de la Belgique sous certaines hypothèses de projection du PIB, des dépenses en R&D et de leur répartition entre secteur privé et public à l’horizon 2020.

L’auteur de cette analyse, Hervé Devillé, est docteur en sciences économiques de l’ULB et professeur à l’Université catholique de Lille. Il est également chercheur associé à la Solvay Brussels School – Economics & Management et chargé de mission au cabinet du ministre bruxellois de l’économie et de l’emploi.